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Humeur : 
http://www.charentelibre.fr/2015/01/29/lgv-grandcognac-stoppe-le-versement,1937792.php
«Tant qu’on n’y verra pas plus clair, on ne paiera plus. On est prêt au bras de fer», a affirmé Michel Gourinchas.. PHOTO/Photo archives CL
Ce jeudi soir en séance du conseil communautaire, Michel Gourinchas, le président de GrandCognac, a annoncé que l’intercommunalité bloquait ses versements sur le dossier Ligne Grande Vitesse (LGV). Le solde se monte à 890.000€, sur un montant total de 3,3M€.
«Entre ce pour quoi on a signé et ce qu’on nous propose aujourd’hui, on est inquiet. Tant qu’on n’y verra pas plus clair, on ne paiera plus. On est prêt au bras de fer», a-t-il affirmé, appelant à une réunion prochaine avec l’ensemble des partenaires (GrandAngoulême, agglomération de Royan et conseil général) «pour organiser la riposte».
GrandCognac suit la voie déjà empruntée par l’agglomération angoumoisine. En novembre dernier, le président de GrandAngoulême, Jean-François Dauré, avait annoncé avoir bloqué le versement de 2 millions d’euros sur le dossier LGV.
Pourquoi? Parce que les négociations sont en cours avec la SNCF et qu’elles ne se présentent pas bien. Celle-ci annonce huit TGV en moins par jour en 2017.
Pourtant, avant le début du chantier de construction de la LGV, la SNCF s’était engagée à maintenir les 22 dessertes quotidiennes à la gare d’Angoulême. Promettant même trois millions de voyageurs par an, le double du trafic actuel.
«Tant qu’on n’y verra pas plus clair, on ne paiera plus. On est prêt au bras de fer», a affirmé Michel Gourinchas.. PHOTO/Photo archives CL Ce jeudi soir en séance du conseil communautaire, Michel Gourinchas, le président de GrandCognac, a annoncé que l’intercommunalité bloquait ses versements sur le dossier Ligne Grande Vitesse (LGV). Le solde se monte à 890.000€, sur un montant total de 3,3M€.
«Entre ce pour quoi on a signé et ce qu’on nous propose aujourd’hui, on est inquiet. Tant qu’on n’y verra pas plus clair, on ne paiera plus. On est prêt au bras de fer», a-t-il affirmé, appelant à une réunion prochaine avec l’ensemble des partenaires (GrandAngoulême, agglomération de Royan et conseil général) «pour organiser la riposte».
GrandCognac suit la voie déjà empruntée par l’agglomération angoumoisine. En novembre dernier, le président de GrandAngoulême, Jean-François Dauré, avait annoncé avoir bloqué le versement de 2 millions d’euros sur le dossier LGV.
Pourquoi? Parce que les négociations sont en cours avec la SNCF et qu’elles ne se présentent pas bien. Celle-ci annonce huit TGV en moins par jour en 2017.
Pourtant, avant le début du chantier de construction de la LGV, la SNCF s’était engagée à maintenir les 22 dessertes quotidiennes à la gare d’Angoulême. Promettant même trois millions de voyageurs par an, le double du trafic actuel.
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