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http://www.lavoixdunord.fr/region/loos-un-homme-happe-par-un-ter-avec-264-passagers-a-bord-ia0b0n2530669
Un TER avec à son bord 264 personnes est bloqué mercredi soir à Loos après un suicide.
Ce mercredi peu après 19 heures, au passage à niveau près de la rue Denis-Crépin à Loos, un homme s'est mis à genoux devant un TER. Le train l’a mortellement percuté. Les pompiers de Loos sont intervenus, au moyen d’un fourgon, d’une ambulance et d’un véhicule de secours routier, et sont notamment venus en aide aux 264 passagers très précisément (la SNCF les a comptés) du TER, qui circule dans le sens Haubourdin-Lille. Ces derniers ont attendu deux heures que quatre cars, prévus par la SNCF, viennent les ramener chez eux. Un autre TER, dans l’autre sens, s’est retrouvé contraint à l’arrêt également, mais les voyageurs n’étaient que vingt ; ils ont pris des bus Transpole.
En attendant, la SNCF a demandé à chacun des 264 bloqués où ils se rendaient, afin de regrouper les voisins dans le même car : Armentières, Nieppe, Calais, Hazebrouck ou encore Saint-Omer. Ils devaient changer à Lille. « La SNCF a assuré ! », s’écrie une dame, visiblement pas traumatisée par l’attente, le froid, et le fait de traverser les voies dans la pénombre, accompagnée par les sapeurs loossois. Une autre tempère : « Deux heures, ça m’a paru deux jours... » Pourquoi les cars ont-ils mis si longtemps à arriver ? « Je ne travaillais pas aujourd’hui, mon patron m’a appelé, mais j’habite à 60 km ! », explique l’un des conducteurs. Les cars Descamps, entreprise basée à Salomé, fonctionnent en partenariat avec la SNCF.
La circulation des trains, dans les deux sens, a été totalement interrompue jusqu’à ce jeudi au petit matin.
Un TER avec à son bord 264 personnes est bloqué mercredi soir à Loos après un suicide.
Ce mercredi peu après 19 heures, au passage à niveau près de la rue Denis-Crépin à Loos, un homme s'est mis à genoux devant un TER. Le train l’a mortellement percuté. Les pompiers de Loos sont intervenus, au moyen d’un fourgon, d’une ambulance et d’un véhicule de secours routier, et sont notamment venus en aide aux 264 passagers très précisément (la SNCF les a comptés) du TER, qui circule dans le sens Haubourdin-Lille. Ces derniers ont attendu deux heures que quatre cars, prévus par la SNCF, viennent les ramener chez eux. Un autre TER, dans l’autre sens, s’est retrouvé contraint à l’arrêt également, mais les voyageurs n’étaient que vingt ; ils ont pris des bus Transpole.
En attendant, la SNCF a demandé à chacun des 264 bloqués où ils se rendaient, afin de regrouper les voisins dans le même car : Armentières, Nieppe, Calais, Hazebrouck ou encore Saint-Omer. Ils devaient changer à Lille. « La SNCF a assuré ! », s’écrie une dame, visiblement pas traumatisée par l’attente, le froid, et le fait de traverser les voies dans la pénombre, accompagnée par les sapeurs loossois. Une autre tempère : « Deux heures, ça m’a paru deux jours... » Pourquoi les cars ont-ils mis si longtemps à arriver ? « Je ne travaillais pas aujourd’hui, mon patron m’a appelé, mais j’habite à 60 km ! », explique l’un des conducteurs. Les cars Descamps, entreprise basée à Salomé, fonctionnent en partenariat avec la SNCF.
La circulation des trains, dans les deux sens, a été totalement interrompue jusqu’à ce jeudi au petit matin.
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