http://www.charentelibre.fr/2015/01/15/angouleme-une-gare-pour-combien-de-tgv-video,1935354.php
Alors que l'aménagement de la gare était présenté jeudi soir aux riverains, des élus se montrent inquiets pour les TGV en gare d’Angoulême. Jeudi à Villognon, Alain Rousset et Dominique Bussereau ont redit leur attachement à ces arrêts. La SNCF parle d’un débat prématuré.
Jeudi matin à la base de travaux de Villognon, Alain Rousset et Dominique Bussereau se sont exprimés sur le sujet dans une émission de France 3.. PHOTO/Photo Majid Bouzzit
Preuve de l'inquiétude des élus du Grand'Angoulême sur le nombre de dessertes, Jean-François Dauré, le président de Grand'Angoulême, a annoncé hier soir lors de la réunion d'information sur le chantier de la gare, qu'il avait demandé la nomination d'un médiateur "pour lever les ambiguïtés et les inquiétudes".
Il a précisé: "Je n'ai pas de raisons d'être inquiet, mais d'être vigilant. La SNCF m'a dit qu'il n'y avait pas de quoi entrer en ébullition".
Il a expliqué fermement ce qu'il refusait: "Que le mode de construction entraîne des coûts supplémentaires de fonctionnement" qui entraînent des droits de péage dissuasifs pour la SNCF à chaque arrêt. "Je ne veux pas que le prix des billets augmente de 30%".
Il a rappelé qu'une convention avait été signée avec l'Etat, qui portait la signature de l'Etat.
"En contrepartie des 23 arrêts, a-t-il ajouté, GrandAngoulême a versé 12 millions d'euros. Quand on n'est pas d'accord, on fait appel à un médiateur"
Ils veulent sauver les dessertes d’Angoulême
Un débat «prématuré» pour la SNCF. De «l’anticipation» pour les élus qui préfèrent, comme dit Jean-François Dauré, président de GrandAngoulême, «montrer les muscles avant qu’il ne soit trop tard.»
Les dessertes de la future ligne à grande vitesse (LGV) Bordeaux-Tours sont venues sur le tapis, jeudi matin à la base travaux de Villognon où France 3 enregistrait au cœur du chantier une émission «spéciale LGV» qui sera diffusée en deux temps demain (1).
Invités du rendez-vous politique de la chaîne régionale, Alain Rousset, président PS de la région Aquitaine, et Dominique Bussereau, patron UMP de Charente-Maritime et ancien ministre des Transports, n’ont pas échappé à la question. Et assuré l’un comme l’autre qu’un «juste équilibre entre les trains bolides, directs entre Bordeaux et Paris, et les autres, ceux qui s’arrêteront, devra être trouvé dans l’intérêt de toute la grande région». Des propos qui font écho à l’inquiétude de plusieurs décideurs du territoire qui craignent pour l’avenir des dessertes d’Angoulême et de Poitiers.
Alors que l'aménagement de la gare était présenté jeudi soir aux riverains, des élus se montrent inquiets pour les TGV en gare d’Angoulême. Jeudi à Villognon, Alain Rousset et Dominique Bussereau ont redit leur attachement à ces arrêts. La SNCF parle d’un débat prématuré.
Jeudi matin à la base de travaux de Villognon, Alain Rousset et Dominique Bussereau se sont exprimés sur le sujet dans une émission de France 3.. PHOTO/Photo Majid Bouzzit
Preuve de l'inquiétude des élus du Grand'Angoulême sur le nombre de dessertes, Jean-François Dauré, le président de Grand'Angoulême, a annoncé hier soir lors de la réunion d'information sur le chantier de la gare, qu'il avait demandé la nomination d'un médiateur "pour lever les ambiguïtés et les inquiétudes".
Il a précisé: "Je n'ai pas de raisons d'être inquiet, mais d'être vigilant. La SNCF m'a dit qu'il n'y avait pas de quoi entrer en ébullition".
Il a expliqué fermement ce qu'il refusait: "Que le mode de construction entraîne des coûts supplémentaires de fonctionnement" qui entraînent des droits de péage dissuasifs pour la SNCF à chaque arrêt. "Je ne veux pas que le prix des billets augmente de 30%".
Il a rappelé qu'une convention avait été signée avec l'Etat, qui portait la signature de l'Etat.
"En contrepartie des 23 arrêts, a-t-il ajouté, GrandAngoulême a versé 12 millions d'euros. Quand on n'est pas d'accord, on fait appel à un médiateur"
Ils veulent sauver les dessertes d’Angoulême
Un débat «prématuré» pour la SNCF. De «l’anticipation» pour les élus qui préfèrent, comme dit Jean-François Dauré, président de GrandAngoulême, «montrer les muscles avant qu’il ne soit trop tard.»
Les dessertes de la future ligne à grande vitesse (LGV) Bordeaux-Tours sont venues sur le tapis, jeudi matin à la base travaux de Villognon où France 3 enregistrait au cœur du chantier une émission «spéciale LGV» qui sera diffusée en deux temps demain (1).
Invités du rendez-vous politique de la chaîne régionale, Alain Rousset, président PS de la région Aquitaine, et Dominique Bussereau, patron UMP de Charente-Maritime et ancien ministre des Transports, n’ont pas échappé à la question. Et assuré l’un comme l’autre qu’un «juste équilibre entre les trains bolides, directs entre Bordeaux et Paris, et les autres, ceux qui s’arrêteront, devra être trouvé dans l’intérêt de toute la grande région». Des propos qui font écho à l’inquiétude de plusieurs décideurs du territoire qui craignent pour l’avenir des dessertes d’Angoulême et de Poitiers.
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