http://www.metronews.fr/paris/sncf-jugees-pour-avoir-orchestre-leur-agression-dans-le-val-d-oise/mnjb!K4hmW0757EN9U/
Les agents attendaient "leurs agresseurs" dans cette gare du Val-d'Oise. Photo : Capture écran Google Street Vie
La supercherie avait été levée grâce à des SMS. Deux agents de la SNCF avaient feint d'être agressées par deux adolescents sur le quai d'une gare du Val-d’Oise, pour obtenir un arrêt de travail afin de prendre des vacances en Guadeloupe pour l’une, et assister à des cours de danse pour l’autre. Ces deux ex-employées aujourd'hui révoquées, seront jugées vendredi devant le tribunal correctionnel de Pontoise (Val-d'Oise).
Les prévenues, âgées de 26 et 37 ans, doivent répondre de "provocation directe de mineur de plus de 15 ans à commettre un crime ou un délit" et "tentative d'escroquerie". Elles encourent une peine théorique de cinq ans d'emprisonnement et 150.000 euros d'amende.
Une agression simulée de toute pièce
Le 3 janvier à 8h30 du matin, les policiers sont appelés à la gare du champ de courses d’Enghien (Val-d’Oise), suite à une double agression assez violente. L’une des victimes est encore en train de gémir au sol, lorsque les forces de l’ordre arrivent. Une demi-heure plus tard, les agresseurs présumés sont retrouvés dans le cadre d’une opération de sécurisation de la gare. Agés d’à peine 15 et 16 ans, ils livrent des explications assez floues face aux enquêteurs du commissariat d’Enghien.
Un autre fait vient troubler l’affaire : les téléphones des agresseurs présumés recèlent de SMS dans lesquels il est question d’un rendez-vous à l’heure exacte des faits. L’un des deux finira par avouer que tout était orchestré par "les victimes" contre 200 euros, SMS à l’appui. Placées en garde à vue à leur tour, les jeunes femmes avaient finalement reconnu les faits. Les deux "faux agresseurs" ont eu eux droit à un rappel à la loi. La société de transports confiait "être confrontée à un cas pareil pour la première fois", consternée "par le discrédit ainsi jeté sur l’ensemble du personnel".
En janvier, afin d’obtenir des arrêts de travail, deux employées de la SNCF avaient feint leur agression à la gare du Champ de courses d’Enghien (Val-d’Oise). Elles avaient été démasquées suite à des messages retrouvés dans les téléphones de “leurs agresseurs”. Elles seront jugées vendredi à Pontoise.
Les agents attendaient "leurs agresseurs" dans cette gare du Val-d'Oise. Photo : Capture écran Google Street Vie
La supercherie avait été levée grâce à des SMS. Deux agents de la SNCF avaient feint d'être agressées par deux adolescents sur le quai d'une gare du Val-d’Oise, pour obtenir un arrêt de travail afin de prendre des vacances en Guadeloupe pour l’une, et assister à des cours de danse pour l’autre. Ces deux ex-employées aujourd'hui révoquées, seront jugées vendredi devant le tribunal correctionnel de Pontoise (Val-d'Oise).
Les prévenues, âgées de 26 et 37 ans, doivent répondre de "provocation directe de mineur de plus de 15 ans à commettre un crime ou un délit" et "tentative d'escroquerie". Elles encourent une peine théorique de cinq ans d'emprisonnement et 150.000 euros d'amende.
Une agression simulée de toute pièce
Le 3 janvier à 8h30 du matin, les policiers sont appelés à la gare du champ de courses d’Enghien (Val-d’Oise), suite à une double agression assez violente. L’une des victimes est encore en train de gémir au sol, lorsque les forces de l’ordre arrivent. Une demi-heure plus tard, les agresseurs présumés sont retrouvés dans le cadre d’une opération de sécurisation de la gare. Agés d’à peine 15 et 16 ans, ils livrent des explications assez floues face aux enquêteurs du commissariat d’Enghien.
Un autre fait vient troubler l’affaire : les téléphones des agresseurs présumés recèlent de SMS dans lesquels il est question d’un rendez-vous à l’heure exacte des faits. L’un des deux finira par avouer que tout était orchestré par "les victimes" contre 200 euros, SMS à l’appui. Placées en garde à vue à leur tour, les jeunes femmes avaient finalement reconnu les faits. Les deux "faux agresseurs" ont eu eux droit à un rappel à la loi. La société de transports confiait "être confrontée à un cas pareil pour la première fois", consternée "par le discrédit ainsi jeté sur l’ensemble du personnel".
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