http://www.huffingtonpost.fr/2015/08/17/sncf-guillaume-pepy-compagnie-trains-avions_n_7996942.html?ncid=tweetlnkfrhpmg00000001

"Je n'ai pas vraiment de passion pour les trains, je n'ai jamais été fan des trains miniatures quand j'étais petit." Dans un entretien au Financial Times publié dimanche 16 août (article en anglais), Guillaume Pepy, le patron de la SNCF, fait part de ses ambitions en expliquant et qu'il n'entend plus se limiter aux trains et veut faire "entrer sa compagnie dans le XXIe siècle". Quitte à la "transformer complètement".
"Je veux transformer une compagnie ferroviaire monopolistique en un groupe de transport international, et je veux le faire rapidement", résume celui qui a pris la tête de la SNCF en 2008. "Nous ne pouvons plus seulement proposer des trains", estime-t-il, expliquant son intention de déployer à l'avenir "des vélos, des voitures électriques, du partage de voitures, du covoiturage, des systèmes de métro léger", avec une réserve tout de même.
"Nous voulons absolument tout faire, sauf les avions. Nous ne deviendrons jamais une compagnie aérienne", assure Guillaume Pepy. Mais ses ambitions pourraient tout de même se heurter, selon le Financial Times, à ce que le quotidien qualifie de "gréviculture" à la SNCF. Une résistance éventuelle face à laquelle le patron de la compagnie affiche une ligne ferme, même s'il estime que "les syndicats ne sont pas le plus grand obstacle au changement".
#infos #trains #france

"Je n'ai pas vraiment de passion pour les trains, je n'ai jamais été fan des trains miniatures quand j'étais petit." Dans un entretien au Financial Times publié dimanche 16 août (article en anglais), Guillaume Pepy, le patron de la SNCF, fait part de ses ambitions en expliquant et qu'il n'entend plus se limiter aux trains et veut faire "entrer sa compagnie dans le XXIe siècle". Quitte à la "transformer complètement".
"Je veux transformer une compagnie ferroviaire monopolistique en un groupe de transport international, et je veux le faire rapidement", résume celui qui a pris la tête de la SNCF en 2008. "Nous ne pouvons plus seulement proposer des trains", estime-t-il, expliquant son intention de déployer à l'avenir "des vélos, des voitures électriques, du partage de voitures, du covoiturage, des systèmes de métro léger", avec une réserve tout de même.
"Nous voulons absolument tout faire, sauf les avions. Nous ne deviendrons jamais une compagnie aérienne", assure Guillaume Pepy. Mais ses ambitions pourraient tout de même se heurter, selon le Financial Times, à ce que le quotidien qualifie de "gréviculture" à la SNCF. Une résistance éventuelle face à laquelle le patron de la compagnie affiche une ligne ferme, même s'il estime que "les syndicats ne sont pas le plus grand obstacle au changement".

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